Boris Cyrulnik, publie un nouveau livre, Quarante voleurs en carence affective, un an seulement après Le Laboureur et les mangeurs de vent. Paru aux éditions Odile Jacob, ce nouvel ouvrage traite des carences affectives de l'enfance, qui mènent souvent à une vie adulte violente.« Pendant les années de guerre, j’ai été privé de toute relation. Après la guerre, j’ai été placé dans une institution. Dans ce désert affectif, où la plupart des enfants s’éteignent, j’ai réussi à m’évader en découvrant les mondes animaux. Comme il n’y avait personne à rencontrer, je m’échappais par une déchirure du grillage pour aller parler au chien du voisin. Il m’accueillait avec joie quand je lui racontais mes malheurs. Ce chien m’a beaucoup aidé. Mes seules relations humaines, je les avais avec des bêtes.Est-ce la raison pour laquelle j’ai toujours pensé qu’en étudiant les animaux on pourrait mieux comprendre la condition humaine ? », indique le résumé du livre, sorti le 6 septembre dernier.
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Boris Cyrulnik, publie Le Laboureur et les Mangeurs de vent chez Odile Jacob. "A travers sa tragique expérience de vie, hors des chemins battus, Boris Cyrulnik nous montre comment on peut conquérir la force de penser par soi-même, la volonté de repousser l’emprise, de trouver le chemin de la liberté intérieure." Grand contributeur du développement de l'éthologie humaine et de la vulgarisation du concept de résilience, Boris Cyrulnik avait obtenu le Renaudot essai pour Autobiographie d'un épouvantail paru en 2008. Il est l'auteur de plusieurs centaines d'articles scientifiques et de nombreuses interventions et séminaires dans diverses universités internationales.
Boris Cyrulnik, publie France-Algérie. Résilience et réconciliation en Méditerranée aux éditions Odile Jacob. Ecrit à quatre mains avec le romancier et essayiste algérien Boualem Sansal, ce livre esquisse une histoire de l'Algérie en y incluant les violences structurelles du pays. "Loin des discours officiels, parfois sans ménagement, ils invitent à redécouvrir l’Algérie et les Algériens, la manière dont ils ont mené ou subi leur histoire, fabriqué leurs héros, conquis leur indépendance – pour le meilleur et pour le pire, entre terrorisme et résistance, fanatisme et corruption, violence et soumission."
Boris Cyrulnik, livre ses réflexions sur la condition humaine à travers la pratique universelle du sport dans son dernier ouvrage paru aux éditions Robert Laffont, J'aime le sport de petit niveau. Dans ce livre d'entretien, le célèbre médecin et éthologue applique son concept de "résilience" à la pratique exemplaire du sport, et plus particulièrement celui exercé à un niveau amateur : "La résilience par le sport, c’est la métamorphose du handicap auquel on ne se soumet pas, et qui nous conduit ainsi à la réparation narcissique." Des pages pleines d'optimisme pour les sportifs du dimanche.
Boris Cyrulnik, publie La Nuit, j’écrirai des soleils, un livre consacré aux effets curatifs de l’écriture sur le mental. Titulaire d’un Certificat d’études spéciales de biologie appliquée aux sports, de neurologie et de biologie, il commence sa carrière en 1967 comme interne des hôpitaux psychiatriques au Centre hospitalier de Paris. En 1971, il devient médecin-chef de l’établissement la Salvate au Revest-les-Eaux. Depuis 1996, il est directeur d’enseignement d’éthologie clinique à la Faculté de lettres et sciences humaines de Toulon et, en 2009, il devient doyen de l’enseignement extra-judiciaire à l’Ecole nationale de la magistrature.
Boris Cyrulnik, publie Les Ames blessées aux éditions Odile Jacob, un livre dans lequel il raconte le long chemin qui l'a "conduit à tenter d'expliquer, de soulager et parfois de guérir les souffrances psychiques (...) et le plaisir de comprendre et le bonheur de soigner les âmes blessées". Boris Cyrulnik avait obtenu le prix Renaudot essai pour Autobiographie d'un épouvantail en 2008.