Francis Cabrel Auteur-compositeur et Interprète de chansons [ biographie ]

Francis Cabrel, est actuellement en tournée française afin de défendre les titres de son dernier album en date, intitulé A l’aube revenant. Le Trobador Tour sillonnera les routes de France et passera par l’enceinte de la Seine Musicale à Boulogne, les 22 et 23 octobre prochains.
Francis Cabrel se produira notamment à Lille les 3 et 4 novembre, à Lyon le 10 novembre, à Toulouse les 15 et 16 novembre et à Marseille le 18 décembre.

Francis Cabrel, est de retour avec son quatorzième album A l’aube revenant, cinq ans après le très beau In Extremis. Sur ce nouveau projet qui vogue entre cordes folk-pop et piano-voix, l'incontournable auteur-compositeur-interprète utilise sa plume poétique pour dénoncer les dérives de l'époque, du règne de l'individualisme au drame écologique qui touche la planète, en passant par les méfaits de ce monde virtuel, mais aussi pour chanter l'amour, notamment celui qu'il porte à son père défunt dans Te ressembler, titre riche en émotions.

Francis Cabrel, le chanteur à l'accent de son sud-ouest natal délaisse quelques jours son village d'Astaffort pour fouler la scène du Palais des Sports. Jusqu'au 7 février, l'interprète de Je l'aime à mourir et des Chemins de traverse fait son grand retour après 7 ans d'absence. Il va interpréter sans aucun doute les titres de son dernier album In Extremis paru l'an dernier. La Dame de Haute-Savoie et la Petite Marie seront là aussi.

Francis Cabrel, fait un retour In Extremis sur le devant de la scène avec son nouvel album. Le chanteur à l'accent du Sud-Ouest le plus connu du village d'Astaffort nous livre sa nouvelle rondelle de 12 titres qui traite du temps qui passe. 7 ans après la sortie de l'album Des roses et des orties en 2008 qui s'est écoulé à 900 000 exemplaires, l'interprète de La Dame de Haute-Savoie y chante l'amour, évoque l'incarcération de Mandela, le chemin de croix du Christ et la Bataille d'Azincourt. Un disque plutôt mélancolique dont le premier extrait s'intitule Partis pour rester. On l'aime à mourir ce Francis Cabrel !