Jean-Marie Le Clézio, publie Identité normale aux éditions Robert Laffont. "JMG Le Clézio ouvre ici sa boîte noire, qui révèle ce qui l’a éveillé à l’écriture.[...] De son attention à l’autre, au déshérité, à l’indésirable. De sa volonté que l’écriture devienne action. L’utilité de la littérature semble utopique face aux désastres du monde. Dans ces pages, il essaye d’y répondre avec sa franchise, sa culture, sa vision." Prix Nobel de littérature en 2008, Jean-Marie Le Clézio a également remporté le prix Paul Morand en 1980 et le prix Jean Giono en 1997 pour l'ensemble de son œuvre.
Jean-Marie Le Clézio, publie Avers chez Gallimard. Sous-titré "Des nouvelles des indésirables", il s'agit d'un recueil de huit nouvelles. "Pour moi, l'écriture est avant tout un moyen d'agir, une manière de diffuser des idées. Le sort que je réserve à mes personnages n'est guère enviable, parce que ce sont des indésirables, et mon objectif est de faire naître chez le lecteur un sentiment de révolte face à l'injustice de ce qui leur arrive." Prix Nobel de littérature 2008, Jean-Marie Le Clézio a également obtenu le rix Renaudot 1963, grand prix Paul Morand 1980 de l’Académie française, le prix international Union latine des littératures romanes 1992, le Grand prix Jean Giono 1997 pour l'ensemble de son œuvre et prix Prince Pierre de Monaco 1998.
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Jean-Marie Le Clézio, fait paraître Le flot de la poésie continuera de couler aux éditions Philippe Rey. Ecrit en collaboration avec son ami et professeur à l’université de Pékin Dong Qiang, ce livre est un vibrant hommage aux poètes chinois de la poésie Tang qui considéraient que l'homme devaient échanger avec le vivant, et non le dominer. Des poètes pour lesquels le Prix Nobel de littérature voue une véritable fascination. "La poésie Tang est sans doute le moyen de garder ce contact avec le monde réel, écrit-il, elle nous invite au voyage hors de nous-mêmes, nous fait partager les règnes, les durées, les rêves."Photo DR
Jean-Marie Le Clézio, publie Chanson bretonne suivi de L'Enfant et la guerre, deux contes, aux éditions Gallimard. À travers ces deux contes qui résonnent comme des balades fraîchement composées, le prix Nobel de littérature nous parle de son enfance avec la magie de la langue qu'on lui connaît, de la terre bretonne de ses ancêtres à l'éclatante nature de l'arrière-pays niçois en proie aux tourments de la guerre qui approche. Deux "chansons" réunies en un même ouvrage qui viennent compléter une collection de livres cultes du patrimoine français, parmi lesquels on peut citer Le procès-verbal, prix Renaudot 1963, Désert ou encore L'Africain.
Jean-Marie Le Clézio, publie Quinze causeries en Chine aux éditions Gallimard. « À travers ces quinze conférences prononcées en Chine, Jean-Marie Gustave Le Clézio offre une réflexion remarquable sur les grandes œuvres littéraires qui ont marqué son chemin d’écrivain. » Jean-Marie Le Clézio, homme de lettres, professeur de littérature et membre du jury du prix Renaudot depuis 2002, a reçu le prix Nobel de littérature en 2008. Ses derniers romans parus en 2017 et 2018 s’intitulent Alma et Bitna, sous le soleil de Séoul.
Jean-Marie Le Clézio, publie Bitna, sous le soleil de Séoul chez Stock. "Parce que le conte peut faire reculer la mort, Bitna, étudiante coréenne sans un sou, invente des histoires pour Salomé, immobilisée par une maladie incurable. La première lutte contre la pauvreté, la seconde contre la douleur." Prix Nobel de littérature 2008, JMG Le Clézio a obtenu le prix Renaudot 1963 pour Le Procès-verbal et a notamment été récompensé par le grand prix Paul Morand de l’Académie française, le prix international Union latine des littératures romanes et le Grand prix Jean Giono (1997) pour l'ensemble de son œuvre.
Jean-Marie Le Clézio, prix Nobel de littérature, publie Alma aux éditions Gallimard. Deux histoires croisées : "celle de Jérémie, en quête de Raphus cucullatus, alias l'oiseau de nausée, le dodo mauricien jadis exterminé par les humains, et celle de Dominique, alias Dodo, l'admirable hobo, né pour faire rire." JMG Le Clézio, tel qu'il signe ses livres, a notamment obtenu le prix Renaudot 1963 pour Le Procès-verbal ainsi que plusieurs prix prestigieux pour l'ensemble de son œuvre : le grand prix de littérature Paul-Morand de l'Académie française en 1980, le prix Prince-Pierre-de-Monaco en 1998 et, bien sûr, le prix Nobel en 2008.