FRONDEVILLE (Guy LAMBERT comte de), Ingénieur en chef des mines.
Né le
12 mars 1917 à Evreux (Eure).
Fils d'
Henri Lambert, marquis de Frondeville (1884-1971), Administrateur de sociétés (voir
W.W. in France, 10
e éd.),
et de
la marquise, née Odette de Grosourdy de Saint-Pierre.
Illustrations familiales : le maréchal de France Sylvain-Charles, comte Valée (1773-1846), Gouverneur de l'Algérie.
Mar.
le 10 novembre 1947 à Mlle Jacqueline de Malleray (8 enf. : Elisabeth, Armelle, Bénédicte, Emmanuel [décédé], Guillaume, Fabrice, Cyrille [décédé], Elvire [Mme Henri d'Oriola])
Etudes :
Institution Sainte-Marie-de-Monceau et Collège Stanislas à Paris.
Diplômes :
Ancien élève de l’Ecole polytechnique, Ingénieur au corps des mines, Bachelier en droit
Carrière :
Ingénieur des mines à Saint-Etienne, Baden-Baden, Sarrebruck (1943-48), Chargé de mission à l’administration centrale des affaires économiques (1948-51), Adjoint au ministre des Travaux publics de Tunisie (1951-56), Chef du service de l’économie de guerre au secrétariat général permanent de la Défense nationale (1956-58), Directeur général (1958-63) de l’Institut pour l’étude et le développement de l’industrie en Algérie (Sedia), Délégué général adjoint (1963), Délégué général (1964) puis Vice-président délégué (1968-69) du Syndicat général de l’industrie cotonnière française, Directeur général (1970-82), Administrateur (1977), Président (1981-82), Président d’honneur (depuis 1982) de la Société financière pour l’expansion des télécommunications (Finextel), Ancien ingénieur-conseil.
Œuvre :
les Visiteurs de la mer.
Décoration :
Officier de la Légion d’honneur, Croix de guerre 39-45, Médailles de la Résistance, des évadés, Grand officier du Nichan-Iftikhar, Officier du Ouissam alaouite et du Dragon d’Annam.
Chevalier de l’ordre souverain de Malte
Membre
de l'Association d'entraide de la noblesse française.