Biographie Henri Spade

SPADE (Henri), Ecrivain, Auteur et Metteur en scène de télévision.

Né le

16 juillet 1921 à Paris 16^e.

Fils d'

Henri Spade, Décorateur,

et de

Mme, née Marie-Louise Grandfond.

Mar.

en secondes noces le 10 décembre 1984 à Mme Michèle Stouvenot (2 enf. de son premier mariage : Michel, Alexandre)

Etudes :

Ecole Gerson et Lycée Janson-de-Sailly à Paris, Facultés de droit et des lettres de Paris et de Strasbourg

Carrière :

Journaliste (l’Aurore, Paris-Presse, Cinémonde, Noir et Blanc, Radio 50), Auteur de chansons, Producteur (1949) à la Radiodiffusion-Télévision française (la Joie de vivre) puis Réalisateur d’émissions lyriques télévisées (depuis 1954) (la Damnation de Faust, Carmen, Hortense Schneider, Louise, Ciboulette), Auteur et Réalisateur d’émissions dramatiques (Vincent Scotto, Village Stepantchikovo, la Misère et la Gloire d’Alexandre Dumas, Lélia, la Polonaise), Chef de la section de production des dramatiques filmées à l’ORTF (1971), Directeur adjoint à l’ORTF (responsable de la vidéo-mobile) (1972), Directeur adjoint à la SFP (1975-79), Directeur producteur (1979), Directeur délégué aux coproductions (1981-85), Directeur délégué général à la Société française de production (1985) puis Délégué général à la coproduction (1987-88), Chargé de travaux dirigés à l’université Paris-IV-Sorbonne (1972-86), Directeur des stages audio-visuels (1975-88), Membre du Conseil d’administration de Paris III-Sorbonne nouvelle (1986-90).

Œuvres :

le Premier Matin, Histoire d’amour de la télévision française, les Enfants de la guerre - tome I : le Temps des cerises (1968) - tome II : la Renaissante (1970), la Berthe (1972), le Chant de Maïoré (1973), la Grimpe, la Polonaise (1969), Et pourquoi pas la patrie ? (1974), Une heure pour chanter (1975), Mathieu, Gaston, Peluche (1976), Album de famille de la télévision française (1978), le Matin de Fiesole (1978), le Passé antérieur (1979), Mes joies de vivre (1981), la Crevasse des Maquisards (1984), la Céline (1986), Enquête sur un amour perdu (1989), Florence Aral (1991).

Décoration :

Officier de la Légion d’honneur et de l’ordre national du Mérite, Croix de guerre 39-45, Chevalier des Palmes académiques, Officier des Arts et des Lettres.

Distinctions :

prix Claude Farrère (1970) et Rabelais (1982)

Sports

de montagne.