GILLET (Philippe, Claude, Marie, Jean), pseudo. :
SAINT-GIL (Philippe), Ingénieur, Ecrivain.
Né le
13 juillet 1923 à Saint-Didier-au-Mont-d’Or (Rhône).
Fils de
Pierre Gillet, Contrôleur général de l’armée et Président de sociétés,
et de
Mme, née Marguerite Deval.
Illustration familiale : son cousin Claude Farrère (1876-1957), Membre de l’Académie française.
Mar.
le 6 juin 1957 à Mme Janine Couder, Ecrivain (sous le pseudo. Claire Vallières) (3 enf. du premier mariage de Mme : Jean-Jacques, Philippe et Claudine Mayer-Gillet [Mme Maurice Garson])
Etudes :
Lycée Janson-de-Sailly à Paris.
Diplômes :
Ancien élève de l’Ecole polytechnique et de Cherchell, Licencié en droit
Carrière :
Ingénieur à l’Entreprise Sofra (1946-55), Attaché à la direction de la société Poliet et Chausson (1955-56), Directeur commercial (1957-64), Directeur général adjoint (1965-78) de la Société Voyer SA (constructions métalliques), Vice-président de Progress (1979-88), Chargé de missions auprès du groupe Egor (1989-91) et du groupe Arco (1992), Sociétaire de la Société des gens de lettres (SGDL).
Œuvres :
romans sous le pseudonyme de Philippe Saint-Gil :
la Meilleure part (couronné par l’Académie française, porté à l’écran),
la Machine à faire des dieux, le Prince Noir (en coll.),
le Vendredi des banquiers (1981),
l’Ile d’acier (1983, prix littéraire des ingénieurs 1990),
Vincent Bargonne polytechnicien (1995); recueils de poèmes :
Dialogues à une voix (prix Jean Cocteau de poésie 1965, couronné par l’Académie française) et
Romantismes.
Décoration :
Chevalier de la Légion d’honneur et de l'ordre national du Mérite.